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A l'époque des pellicules.
Jusqu'au début des années 1980, les photos prises pendant les séjours par les colons ou les ados ont été rares. Les appareils photos utilisés par quelques uns seulement étaient essentiellement de type "pocket", avec une pellicule de petite taille et donc une bien piètre qualité d'image. Ces appareils "pocket" étaient robustes, petits, sans aucun réglage nécessaire, totalement mécaniques, donc aptes à être glissés dans un sac à dos ou maniés sans trop de soin.
La pellicule, logée dans une cartouche, faisait 12 ou 24 photos. Quand on arrivait en début de séjour avec une seule pellicule, elle était bien rapidement terminée. Il n'était plus possible de couvrir les activités, les sorties, les randonnées, les veillées à moins d'un passage "en ville" (à Saint Béat) pour en acheter une nouvelle. Et c'était pas fréquent ..
Les photos prises avec les appareils "pocket" étaient plutôt bon marché, mais de qualité fort moyenne.. (séjour de juillet 1983).

Appareil "pocket" avec sa pellicule en cartouche.

Quelques animateurs possédaient un "reflex", appareil plus coûteux et fragile dont la qualité des photos était nettement meilleure. A partir de 1986, l'apparition des appareils photo "jetables", très bon marché et pouvant être achetés partout (presse, supermarché, station services ..) démocratisa la photo y compris chez les enfants les plus jeunes.
Si l'usage de la couleur est devenu ultra majoritaire dans les années 80, les photos en noir et blanc sont nombreuses sur les premières années de la colo. Les outils numériques actuels nous offrent la possibilité de leur donner un beau rajeunissement en les colorisant. Les résultats sont étonnants, comme on peut le voir sur l'exemple ci-dessous.
Colorisation de photos en noir et blanc.


Les photos furent essentiellement tirées sur papier, au mieux en double exemplaire, leur partage est alors resté limité. Les échanges se faisaient en les adressant par courrier postal. La direction de la colonie prenait aussi des clichés et des films du séjour présentés ensuite lors de la "soirée des films". Mais voilà : pour être projetées il s'agissait de diapositives qui n'ont jamais été dupliquées ou reproduites sur papier. Il n'en reste rien de nos jours, elles ont disparu (voir aussi l'article
sur les films de la colo)
L'arrivée du numérique.
Ce n'est qu'en 1995 que les premiers appareils photo numériques sont apparus. Seules les dernières années d'existence de la colo ont pu bénéficier de clichés plus nombreux .. mais paradoxalement probablement perdus car les supports numériques ne sont pas stockés avec autant d'attention que ne le furent ceux sur pellicule et papier.
Les échanges de photos après les séjours nous ont permis de collecter environ 1500 clichés des années 1972 à 1992. Ils concernent les séjours de juillet jusqu'en 1987, d'août de 1988 à 1991, quelques camps de ski des années 1982 à 1992.
Bien entendu, si vous passez par cet article et que vous avez dans vos archives des photos séjours à Saint Béat, pensez à nous les adresser ! (scannées ou prises en photo avec un téléphone) à
Nota : les photos publiées sur ce site sont en faible définition pour permettre le chargement rapide des pages ; elles sont disponibles en meilleure qualité.
L'atelier photo.
Il y avait au fond du chalet un petit local pour le développement et le tirage des photos : tout pour organiser un atelier pendant le séjour. Quelques animateurs ayant les connaissances ou ayant suivi un stage de perfectionnement dans ce domaine l'ont fait vivre sur plusieurs années. Outre l'apprentissage des techniques photos pour les moins jeunes des colons (développement de pellicules et tirage sur papier en noir et blanc), l'atelier mobilisait tout le monde comme figurant ou photographe pour réaliser notamment un roman photo, mais également des clichés des activités quotidiennes.
Juillet 1984, le groupe ayant fait l'atelier photo pendant le séjour (photo colorisée).

Les collections privées retrouvées.
A fin 2023, ce sont plus de 1500 photos (à fin 2023) issues d'anciens colons, ados ou moniteurs qui ont été collectées. Ce site en affiche une partie .. avec un peu de temps elles seront peu à peu publiées.
- Détails
C'est bien connu, les deux séjours d'été ont toujours eu une tenue, des pratiques d'animation et des équipes bien différentes. On peut même aller jusqu'à dire qu'il y eut une certaine rivalité due à l'invisible frontière culturelle séparant les "juilletistes" des "aoûtiens" ..
Les différences ..
Jusqu'à l'été 1975 les séjours ne sont pas mixtes : juillet pour les garçons et août, donc, pour les filles.
Au séjour de juillet revenait le soin d'ouvrir la colo, de fouler l'herbe encore verte du terrain de foot, d'étrenner les chemins de randonnée en début de saison. La nature y est aussi objectivement plus belle, plus fleurie. Les torrents ont encore du débit et les neiges éternelles n'ont pas totalement disparu à 2000 mètres d'altitude.
Le séjour d'août s'installe sur un camp aux installations déjà foulées par le piétinement de trois semaines de vacances. Il fait plus chaud, les journées sont déjà nettement plus courtes, on s'achemine vers la fin de l'été, des vacances, vers la rentrée. Il faudra aussi au départ nettoyer les deux mois d'occupation, ranger le matériel, remiser à l'abri toute la literie des marabouts.
En juillet, la présence religieuse était plus affirmée et moins moderne. La messe du dimanche était encore un incontournable du planning des groupes jusqu'au milieu des années 1980. Lors des veillées, elle s'illustrait souvent par un chant issu du répertoire des aumôneries ou du catéchisme. En août, c'était peu être un peu plus œcuménique : une messe ne pouvait bloquer d'autres activités. Les animations (veillées, jeux, sorties) étaient plus décomplexées, on assumait de s'amuser sans autre but .. Pour reprendre les stéréotypes sociaux du film "La vie est un long fleuve tranquille" peut-être avions nous en juillet plus de "Le Quesnoy" que de "Groseille", l'inverse en août ? (pour ceux à qui cette image ne parle pas, voir https://fr.wikipedia.org/wiki/La_vie_est_un_long_fleuve_tranquille). Dès la fin des années 80, ces différences se sont par contre atténuées.
L'animation s'est affirmée aussi avec des différences entre les deux séjours. En juillet, c'était plus de traditionnel, dans la lignée des colonies de vacances des années 60. On était dans l'idée de donner un cadre de journée régulier, plutôt strict, d'éduquer à la vie en groupe, plutôt que d'ouvrir à des activités nouvelles et d'innover. En août, le fonctionnement "à la carte" des activités dès le milieu des années 80 a renouvelé l'animation, avec moins de "garderie" et plus de professionnalisme.
Passer d'un séjour à l'autre était fréquent, notamment pour les colons qui pouvaient être contraints par les vacances de leurs parents. Pendant une dizaine d'années, entre 1978 et 1988, le camp d'ados n'exista qu'au séjour de juillet, obligeant ainsi ceux qui atteignaient l'age de 14 ans à poursuivre uniquement au séjour de juillet. Nombre d'animateurs ont aussi testé les deux camps.
Juillet 1983 : l'arrivée des cars du séjour d'août ..

La jonction entre les deux séjours :
C'était rapide et avec un rituel immuable. Au séjour de juillet, la veille on cessait les activités pour ranger, nettoyer, préparer les paquetages. Le matin du départ, après petit déjeuner et toilette, les valises étaient rassemblées près de la zone de parking des cars, entre les cuisines du bâtiment principal et le pavillon du personnel. Parfois, quand il pleuvait, elles étaient stockées dans le passage abrité entre réfectoires et dortoirs. Vers 11h30, un déjeuner froid était pris en intérieur ou extérieur suivant la météo. Après ce déjeuner, suivait l'attente pendant laquelle l'ambiance de ces dernières heures était à la fête. Vers treize heures, les cars du séjour d'août faisaient leur entrée. Dès la descente des cars, c'était pour eux également le déjeuner froid avec les sandwich embarqués ce matin. Les valises étaient débarquées pendant ce temps, celles du séjour de juillet embarquées en suivant. Quelques transfuges d'un séjour à l'autre, animateurs, colons ou ados ayant changé de séjour et se connaissant, se retrouvaient brièvement. (voir également l'article sur les
départs et retours). Les chauffeurs allaient se restaurer en cuisine avant de reprendre la route.
31 juillet 1986, jonction entre les deux séjours.

Moniteurs de juillet et d'août se retrouvant à la salle des animateurs (1er août 1983).

Si les animateurs de juillet gardaient encore un peu la possession de la salle des animateurs, ceux du séjour d'après ne tardaient pas à s'y rendre dès le signal de rassemblement avant d'embarquer. Vers 14 heures, les chauffeurs des cars avaient fini de déjeuner et c'était enfin le départ. La passation était faite.
- Détails
Lors des séjours d'été, quand il n'y avait pas de sortie ou une activité particulière comme une grande fête ou un grand jeu, des ateliers créatifs étaient proposés dans la matinée aux enfants les plus jeunes. Le séjour de juillet, traditionnel, a gardé ce mode de fonctionnement sans doute jusqu'à la fin des années 1990. Les colons suivaient en général un atelier sur tout le séjour, mais les changements étaient néanmoins assez fréquents. Les moyens alloués, dérisoires, limitaient fortement les possibilités. Chaque atelier, préparé par un animateur, était installé dans ou à proximité du chalet. En août, le fonctionnement "à la carte" dès le milieu des années 1980 à permis de proposer des activités plus variées.
Quelques ateliers créatifs proposés :
Émaux.
Cet atelier a été rarement proposé car il nécessitait du matériel spécialisé que nous mettait à disposition notre voisin, la "maison familiale" (gite de vacances mitoyen de la colo). Les émaux étaient réalisés sur de petite pièces de cuivre permettant de créer essentiellement des bijoux fantaisie (pendentifs, bagues..).
Perles, crépon, scoubidous, collages, dessin, peinture, vitraux, diapos ..
De grands classiques ne nécessitant que peu de moyens et ouvert à tous. Il y avait toujours du monde et n'importe quel animateur pouvait s'en occuper au besoin. La peinture était à l'eau et se faisait sur le verso d'échantillons de papiers peints, sur des cailloux ou des bouts de bois.. Les vitraux étaient faits par collage à partir de papier-cristal ou peinture sur petites plaques de verre. Les diapos se faisaient avec du papier-calque ou cristal et des caches de pellicules diapositives.
23 juillet 1983, ateliers devant le chalet.

31 juillet 1990, atelier "patatographe" : peinture avec des tampons sculptés dans des pommes de terre.

Pinces à linge.
Il s'en est collé des pinces à linge en bois, pour créer des objets décoratifs ou plus souvent de petits cadeaux pour ses parents.
28 juillet 1984, atelier pinces à linge.

29 juillet 1984, atelier pinces à linge.

Musique.
Un atelier proposé régulièrement, les instruments étaient toutefois peu nombreux : quelques flutes à bec et guitares. Les morceaux répétés par le groupe étaient joués lors des veillées.
23 juillet 1983, atelier musique.

29 juillet 1984, atelier musique.

Théâtre d'ombres ou de marionettes.
Nous trouvons des traces de cet atelier dès 1974, mais vu la simplicité de mise en œuvre (confection ou découpes de personnages, décors dans du papier) il est bien possible qu'il se soit réalisé à de fréquentes reprises. C'est lors de veillées que le réalisations de l'atelier étaient produites et mises en scène.
28 juillet 1987, théâtre de marionnettes lors de la veillée.

Photo.
Il y avait au fond du chalet un petit local pour le développement et le tirage des photos : tout pour organiser un atelier pendant le séjour. Quelques animateurs ayant les connaissances ou ayant suivi un stage de perfectionnement dans ce domaine l'ont fait vivre sur plusieurs années. Outre l'apprentissage des techniques photos pour les moins jeunes des colons (développement de pellicules et tirage sur papier en noir et blanc), l'atelier mobilisait tout le monde comme figurant ou photographe pour réaliser notamment un roman photo.
Juillet 1984, le groupe ayant fait l'atelier photo pendant le séjour.

Journal de la colo.
Réalisé lors de plusieurs séjours, c'était un atelier simple et créatif. En effet, le journal était réalisé individuellement et destiné à être donné à ses parents au retour du séjour. Cela prenait du temps d'aider à rédiger et ornementer ce journal.
Danse.
Un atelier récurent, les chorégraphies mises au point étaient produites lors des veillées.
Juillet 1977, danse tahitienne.

Courrier.
Eh oui, il fallait bien évidemment veiller et aider à ce que les plus jeunes adressent des nouvelles à leurs parents, cet atelier était proposé au moins une fois par semaine.
Atelier courrier, 19 juillet 1984.

Bougies et flambeaux.
La proximité de la colo avec les activités paroissiales amenait à disposer d'un stock conséquent de restes de cierges de dévotion (ceux qui s'éteignent tout seuls..). Il y avait la matière pour réaliser de nombreux travaux avec la cire, bougies colorées, parfumées, coulées dans des pots, dans la terre (bel effet), décoration de bouteilles avec des coulures de cire, etc.. La cire a aussi servi à confectionner des flambeaux utilisés lors des grandes veillées en extérieur : il suffisait de fil de fer, de quelques bâtons et de vieux chiffons.
Pyrogravure.
Un grand classique, la colo était équipée de plusieurs pyrograveurs et quelques rondins de bois, planches ou bâtons servaient de support aux créations.
Atelier pyrogravure, juillet 1978.

Herbier.
La passion pour la botanique de quelques animateurs et la richesse florale de la montagne estivale se sont souvent rejointes dans la réalisation d'un atelier "herbier", plutôt prisé d'ailleurs par les enfants. Quelques catalogues de papiers peints (.. les mêmes dont nous tirions du papier pour l'atelier de peinture) servaient à faire sécher entre leurs pages les plantes recueillies et un livre de botanique permettait de les identifier. En fin de séjour, les plantes sèches étaient fixées par du scotch pour constituer un petit livret souvenir.
Juillet 1987, réglisse sauvage près du refuge du Maupas.

Poterie.
L'atelier a eu lieu régulièrement, tant en juillet qu'en août. Les créations ne duraient pas bien longtemps car la terre à poterie était juste séchée et non cuite. La réserve de terre à travailler ne durait pas non plus éternellement.
31 juillet 1990, démarrage de l'atelier poterie le 1er jour du séjour d'août.

Maquillage.
L'atelier a eu lieu quelques fois, pour apprendre ou faire réaliser un maquillage de clown ou d'animal par exemple. Les maquillages travaillés étaient souvent faits ou refaits à l'occasion des grandes fêtes.
14 juillet 1986.

Maquettes.
Un atelier qui eut lieu au moins en juillet 1984. Des maquettes en plastique à assembler avaient été achetées. L'atelier n'a sans doute pas dû perdurer une fois le stock de départ épuisé.
14 juillet 1984. L'atelier "maquettes" est annoncé sur l'affiche de gauche.

- Détails
Cinq stations de ski alpin en proximité de la colo permettaient d'initier et perfectionner de nombreux groupes de collégiens et lycéens. Les séjours de neige se déroulaient lors des vacances de Noël et de février. Il y en eut peut-être également à Pâques, en fonction de l'enneigement, mais c'est à vérifier. La station du Mourtis, proche et familiale, était largement privilégiée.
Le Mourtis

Située sur la commune de Boutx, c'est la station la plus proche de la colonie, à environ 25 minutes en voiture. Station de moyenne montagne (le sommet le plus élevé est le Tuc de l'Etang à 1816 mètres), le Mourtis offre de nos jours une vingtaine de pistes sur un beau massif boisé de moyenne altitude. Pour les groupes des séjours d'hiver c'était une station "familiale" idéale pour débuter. Avec son altitude modeste, le Mourtis n'a pas toujours eu de la neige à Noël et à Pâques, d'autres stations assez proches et plus élevées permettaient de disposer d'une alternative.
Il est arrivé pendant les séjours d'été, mais très rarement, de se rendre à la station pour gravir ses sommets. Les stations de ski sont rarement très belles en été avec leurs pistes dégarnies de neige et fort raides à remonter !
Ci dessous, le bas de la station et l'unique télésiège. Site web du Mourtis.
Les Agudes/Peyragudes.
Accessible également depuis Bagnères de Luchon, la station des Agudes est située à l'Est du col de Peyressourde. Cette station était choisie quand la neige manquait au Mourtis.
En 1988, elle "fusionne" avec la station de Peyressourde, juste située de l'autre côté du col et devient donc "Peyragudes", une des plus importantes stations des Pyrénées françaises. Les deux domaines skiables se sont simplement rejoints. Site web de Peyragudes.
Peyragudes, billeterie et bas des pistes (photo de février 2019).

Superbagnères.
Située juste au dessus de Bagnères de Luchon, c'est une des plus anciennes stations de ski en France avec cent ans d'histoire. Le plateau de Superbagnères offre un des plus beaux panoramas des Pyrénées avec vue sur l'Aneto, la Maladeta et tous les "3000" du Luchonais. Une heure de route étant nécessaire, cette station n'était choisie qu'en cas de manque important de neige à celle du Mourtis, mais Peyragudes était généralement préférée. Site web de Superbagnères.
Superbagnères (photo de décembre 2021).

Baqueira Beret.
Est une station du val d'Aran, en Espagne, de plus grande ampleur avec une centaine de pistes de ski. Il fallait environ le même temps de trajet pour s'y rendre que pour aller à Superbagnères ou à Peyragudes. L'altitude élevée de Baqueira (2500 mètres en haut des pistes) permettait de garantir un manteau neigeux plus conséquent. Site web de Baqueira. C'était cependant moins commode de s'y rendre avant l'entrée de l'Espagne dans l'Union Européenne (1986), le passage du poste de douane réclamait un peu de paperasse. De plus, il fallait faire du change pour payer en station (l'Euro n'est devenu la monnaie commune qu'en 2002..).
Bourg d'Oueil.
Nous la citons, car proche de la colo, bien que probablement aucun groupe n'y soit allé. A vérifier ?. Cette station, la plus petite des Pyrénées, est située en vallée d'Oueil, que l'on atteint depuis la route entre Bagnères de Luchon et le col de Peyressourde.